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La société est crée en 1827, sous l'impulsion du Vicomte Héricart de Thury. Elle devint, en 1835, la Société Royale d’Horticulture, intervenant comme un club de passionnés souhaitant échanger des expériences et de nouvelles techniques culturales. Sous l'impulsion du Duc de Morny, elle fusionne avec la Société Nationale d'Horticulture de la Seine, regroupant, elle, les praticiens, devenant alors la Société Impériale d'Horticulture. Elle prendra son nom définitif en 1885.

Regroupant à l'origine les amateurs et les professionnels, elle lancera une revue, Jardins de france, en 1947 qui reste l'une des plus anciennes revues horticoles françaises en activité. Aujourd'hui, la SNHF rassemble des amateurs, des collectivités, des entreprises et des associations spécialisées auxquelles elle apporte les services d'une fédération, rassemblant par leur biais près de 100 000 personnes.

Ses actions visent notamment l'amélioration des pratiques horticoles des particuliers, en particulier s'agissant de la biodiversité au jardin, de l'usage des produits phytosanitaires, tandis que ses préoccupations concernent tant l'impact des jardins sur la santé, sur sur l'environnement ou l'alimentation, sans oublier le volet financiers pour les ménages. Elle remet plusieurs prix dont le Grand prix de la Rose, sous égide du Président de la République, le prix du potager, le pris Jardiner Autrement. Elle dispose également d'une bibliothèque spécialisée de près de 12 000 ouvrages dans l'enceinte de son immeuble parisien située au 84 rue de Grenelle, où elle est implantée depuis 1860.

Au préalable, Maxime Cumunel co dirigeait la fondation pour l'Agriculture et la Ruralité dans le Monde (reconnue d'utilité publique en 2005). Diplômés du MAE de l'IAE de Paris et du Master "Communication politique et sociale" de l'université Paris 1, Maxime Cumunel est également Secrétaire général de l'Observatoire du Patrimoine Religieux et Vice-président de l'IAE de paris Alumni depuis 2011.